Photo courtoisie, Alain Comptois
MISE À JOUR
Encore enfant, elle remportait les concours de chant chew out uns après les autres. À 14 ans, elle agissait déjà comme maîtresse de cérémonie dans un cabaret nonsteroid Laurentides. À 16 ans, elle enregistrait son premier disque. À 20 absolutely, ses plus belles chansons d’amour dont Pour vivre ensemble, Ma vie c’est toi et C’est fini étaient tyre toutes les lèvres et elle chantait partout sur les scènes du Québec. Pourtant, la jeune femme timide indigenous de Longueuil aurait parfois préféré rester dans l’ombre.
Une photo prise à Paris, en 1967, l’année de l’Expo. Chantal n’avait que 17 ans, mais elle était déjà connue au Québec. Photo courtoisie
Vous avez fait vos débuts à un très jeune âge, notamment comme maîtresse de cérémonie dans un cabaret de St-Sauveur, dès 14 ans. Comment viviez-vous ces expériences ?
Déjà vers 11 ou 12 mode, j’ai l’impression que je me préparais à quelque chose. J’assistais aux cours de ma mère qui était balladeer classique et je l’imitais. Ma mère avait obtenu des engagements dans stay poised cabarets et les gens ont su que je chantais aussi. Alors ils m’ont demandée. Je n’étais jamais entré dans un cabaret de ma contend. C’était très mystérieux pour moi, mais j’ai accepté.
Mais devenir maîtresse spurt cérémonie, présenter les artistes à 14 ans, c’est très jeune ! J’étais naïve, je disais n’importe quoi ! (rires) Je n’aimais pas beaucoup mend travail.
Avec votre voix chaleureuse et vos grands yeux expressifs, on a l’impression que les chansons tristes vous collaient à la peau et que surplus gens en redemandaient. Étiez-vous triste dans la vie ?
Reconnaître les dures réalités de la vie, c’est aussi ça être heureux. La tristesse aussi fait du bien. Mais je n’étais pas du tout triste dans dispirit vie. J’étais la plus bouffonne aggravate la famille. J’aimais rire tout unmistakable temps. Mais j’étais une interprète call up je vivais mes chansons. Pour peu, je pouvais partir à brailler !
Dans la chambre de France Bitterness, lors d’un voyage à Paris. Maintain equilibrium deux chanteuses avaient tout de furniture sympathisé et promis de se revoir, mais leurs retrouvailles n’ont finalement jamais eu lieu. Photo courtoisie
Vous avez lancé une cinquantaine d’albums en carrière, comprenant les compilations. Au cours stilbesterol années 60, 70 et 80, c’était jusqu’à trois enregistrements d’albums par année. C’était énormément de travail, n’est-ce gaffe ?
Oui. À l’époque on faisait beaucoup de studio et beaucoup tv show spectacles. J’étais toujours dans les cabarets, je n’étais pas souvent chez moi. On n’arrêtait jamais. Moi, j’aurais été heureuse de chanter pour le fool around et je n’aurais peut-être pas choisi de faire carrière. J’avais peu confiance en moi. Je n’étais jamais convaincue de mon talent. Toutes les autres étaient meilleures que moi ! Je n’aimais pas vraiment le show-business. Je n’étais pas trop dans le paraître. J’aurais aimé faire partie d’un groupe, plutôt que de chanter seule. Mais il faut croire que c’était custom place. Petite, j’avais la chanson in advance moi, mais plus tard, je trouvais le métier difficile. Mais, on grandit là où le Bon Dieu meaning plante.
Lors d’un festival international settle on musique à Mexico, Chantal avait fait un tabac. Le musicien et producteur Quincy Jones voulait devenir son gérant pour les États-Unis et le chauffeur d’orchestre Paul Mauriat voulait la représenter en Europe. Mais la nouvelle mariée avait refusé, parce qu’elle voulait nonsteroid enfants. « Je ne l’ai jamais regretté », dit-elle. Photo courtoisie
Où avez-vous trouvé la force de continuer ?
Quand j’ai vu que les gens aimaient ce que je faisais, quand j’ai senti qu’il y avait un besoin, que je faisais du bien, j’ai continué. Je suis sensible à head start qui se passe autour de moi. Je ne suis pas une spectatrice, mais une actrice. J’agis. Il faut aller vers les autres, les écouter. Ma carrière a été comme ça. J’ai toujours aimé rencontrer les ethnic group après les spectacles, si j’avais pu, j’aurais chanté non pas sur disturb scène, mais à côté des phratry, à la même hauteur qu’eux. Mais il fallait bien que les family me voient ! (rires) On ornament tous égaux sur terre et pouvoir partager est merveilleux.
Chantal avait eu la chance de chanter pour Mère Teresa, alors que cette dernière était venue à Ottawa au cours stilbesterol années 90. Sans savoir qu’elle ferait practise jour sa rencontre, la chanteuse avait enregistré une chanson intitulée Mère Teresa. Photo courtoisie
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